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Let’s go (rire) Maxime Dupas, je suis arrivé au Crédit Agricole il y a 2 ans et demi maintenant, à l’époque en Caisse régionale Ile-de-France. J’ai fait une mobilité au sein du Groupe il y a maintenant quelques mois et j’ai rejoint les équipes de CA-GIP il y a 2 mois et demi. Je m’occupe de l’équipe MLops, qui s’occupe de toutes les offres Machine Learning au sein de CA-GIP donc pour l’ensemble des entités du groupe Crédit Agricole. Que fais-tu au quotidien ? Je travaille dans la banque (rire), je ne rentre pas trop dans le détail parce que sinon c’est trop compliqué (rire). Nous on déploie une solution Machine Learning Obs qui s’appelle Data IQ. C’est une solution qui permet de faire du Machine Learning, de la Data Analyse dans un outil qui simplifie aujourd’hui le fonctionnement de la data. Ce qu’on appelle un peu le « no code, low code » et également la possibilité d’avoir des modèles de code open source. On déploie cette solution de bout en bout, de l’infrastructure, les machines openstack jusqu’à l’applicatif à la fin et l’accompagnement des utilisateurs dans l’utilisation de cette solution. On accompagne plusieurs entités au sein du groupe Crédit Agricole qui font aussi bien de la Data Analyse que du Machine Learning ou de l’analyse d’image. On les accompagne au quotidien avec des évolutions dans leurs utilisations, des évolutions des infrastructures associées en fonction de leurs besoins, mais également dans leurs projets puisqu’on va les accompagner et les aiguiller dans des sujets d’habilitation, de droit, d’accès au projet et également dans des problématiques qu’ils peuvent rencontrer de codes, donc là qui sont plus des sujets de Data Science ou de Data Analyse. Avant d’intégrer CA-GIP, savais-tu que ton métier allait impacter la vie de millions de personnes ? J’ai déjà été confronté à des projets qui visent des millions de clients au quotidien, maintenant c’est vrai que chez CA-GIP il y a une vraie force dans les compétences internes sur tous les sujets. Sécurisation, déploiement, compétences innovantes sur le marché… donc du coup ça c’est une force pour nos clients parce qu’on va pouvoir servir à chacune des entités des solutions qui sont innovantes et qui vont leur permettre derrière, de créer des solutions, des modèles à forte valeur ajoutée pour leur quotidien. On apporte vraiment l’expérience de compétences passées dans un domaine qui est challengé au quotidien aujourd’hui. Comment images-tu la suite de ton parcours chez CA-GIP ? Aujourd’hui moi je suis un passionné de la data, donc je ne me vois pas trop évoluer ailleurs que dans ce domaine là. Néanmoins chez CA-GIP, ce qui est vraiment cool, c’est qu’on t’accompagne dans ton développement, on t’oriente vers des nouvelles solutions, vers des nouvelles compétences, qui pourraient t’aider à t’améliorer dans ton quotidien et dans l’accompagnement que tu peux avoir auprès des entités. Un conseil à donner aux candidats qui voudraient rejoindre ton équipe ? Que tu rejoignes la squad MLops ou CA-GIP en général, quel que soit ton domaine d’expertise, il va y avoir des besoins en termes de connaissances techniques. Il y a deux vrais enjeux à mon sens, si je prends un peu de recul, le premier c’est l’état d’esprit. Avoir un état d’esprit bienveillant. Et le deuxième enjeu, ce serait je pense la partie RSE. Vraiment avoir une volonté d’aller dans ces sujets autour de l’environnement, qui est un sujet très très important au sein du groupe Crédit Agricole et donc de CA-GIP. C’est fini ? (rire)

J’ai pas l’habitude d’être devant une caméra (rire). Je m’appelle Margaux Le Bras, j’ai 23 ans, je suis chez CA-GIP depuis un peu plus d’un an maintenant et seulement depuis un peu plus de 6 mois en CDI, depuis décembre 2022. Je travaille au Socle Digital Workplace et donc je réponds à toutes les questions de volumétrie et de facturation. Et je suis aussi le côté relationnel avec les responsables d’entités. Que fais-tu au quotidien ? Alors la facturation se décompose en plusieurs phases. Il y a pendant toute l’année des exercices budgétaires, on en a cinq, qui permettent pendant toute l’année de faire des projections aux entités et donc après à la reddition, on leur facture ce qu’ils ont réellement consommé, ce que chaque client a réellement consommé avec nous côté département, ce qu’on a réellement consommé en termes de charges sur chacun de nos produits. En quoi ton métier fait-il sens pour toi et vis-à-vis des clients ? Pour moi, les deux sont liés, mon but c’est d’aider au maximum les responsables entités à répondre aux besoins des entités du Crédit Agricole, forcément ça amène à améliorer au maximum le relationnel qu’il y a entre CA-GIP et les entités du Crédit Agricole dans le futur. Admettons que ton métier n’existe pas, que se passerait-il ? ça pourrait être une grosse perte de temps parce que par exemple mon but c’est de fluidifier au maximum les échanges entre les responsables, l’entité et mon département. Et potentiellement, sans moi, on ne saurait pas qui est déjà le point d’entrée, on contacterait potentiellement n’importe qui et donc beaucoup de temps pour juste une question donnée alors que moi j’indique directement vers qui aller si je ne peux pas moi-même répondre à la question. Avant d’intégrer CA-GIP, savais-tu que ton métier allait impacter la vie de millions de personnes ? Alors non, mais c’est vrai qu’on est chacun un maillon de la chaîne qui permet au groupe Crédit Agricole de délivrer des services aux clients finaux en fonction de leurs besoins. Comment images-tu la suite de ton parcours chez CA-GIP ? Je le dis comme ça là ? Ok (rire) Mon but ce serait de progresser pour tout ce qui est côté finances d’entreprises, surtout avec la connaissance de mes collègues actuels et pourquoi pas après effectuer une mobilité au sein du groupe Crédit Agricole, qui me permettrait de me former encore plus amplement sur la partie finance. Un conseil à donner aux candidats qui voudraient rejoindre ton équipe ? D’être motivé et d’être force de proposition